Dominique et Guillemette de Williencourt
L’apocalypse d’Icare – création mondiale
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Et dans ce mouvement de recul, qui dure un quart de seconde, le temps se fige, s’épaissit, se densifie, plus rien n’existe que l’instant présent. Sa vie défile, sa mort, il le sait, assurée. L’oscillation est infiniment longue, douloureusement longue, entre l’espoir de continuer à vivre, et une fin inéluctable. Le temps est figé en une superposition d’état à la probabilité égale, la vie, et la mort. La conscience oscille, elle, entre l’acceptation et l’imploration en vue d’une rédemption.
Darownson.